C'est la finale de rêve. Alors que le Barça, vainqueur 5-0 à l'aller, n'a guère tremblé pour venir à bout d'Almeria avec une équipe bis (3-0), le Real Madrid a autrement peiné pour disposer d'une équipe de Séville accrocheuse (2-0). Ce qui nous donne un glorieux remake de la finale de 1990...
Le 20 avril prochain, le Real Madrid aura le droit de jouer un Clasico royal face au FC Barcelone, ce qui n'était plus arrivé depuis la saison 1989-1990 (le Barça s'était imposé 2-0). Le club catalan s’est facilement défait d’Almeria (0-3) avec un très bon Afellay après un récital à l’aller (5-0).
Adebayor brille Avec un Benzema fort maladroit et qui n’avait pas retrouvé l’inspiration du match aller, doublé d’un Cristiano Ronaldo des mauvais soirs, le Real Madrid s'en est finalement remis au talent de son meneur de jeu Mesut Özil. Bien servi par son compatriote Khedira (blessé en fin de rencontre) dans la profondeur, le génial gaucher élimina d'une belle feinte le pourtant très vigilant portier sévillan Javi Varas avant de redresser son tir du droit (81e). Rentré à la place de Karim Benzema à la 83e minute de jeu, Emmanuel Adebayor provoquera lui l'expulsion de Sergio Sanchez avant de doubler la mise dans les arrêts de jeu, suite à un superbe enchaînement contrôle de la poitrine-reprise de volée, après un centre du gauche de Lassana Diarra. De quoi fortement contraster avec les maladresses répétées de Benzema, qui a raté au bas mot trois buts tous faits.
Adebayor brille Avec un Benzema fort maladroit et qui n’avait pas retrouvé l’inspiration du match aller, doublé d’un Cristiano Ronaldo des mauvais soirs, le Real Madrid s'en est finalement remis au talent de son meneur de jeu Mesut Özil. Bien servi par son compatriote Khedira (blessé en fin de rencontre) dans la profondeur, le génial gaucher élimina d'une belle feinte le pourtant très vigilant portier sévillan Javi Varas avant de redresser son tir du droit (81e). Rentré à la place de Karim Benzema à la 83e minute de jeu, Emmanuel Adebayor provoquera lui l'expulsion de Sergio Sanchez avant de doubler la mise dans les arrêts de jeu, suite à un superbe enchaînement contrôle de la poitrine-reprise de volée, après un centre du gauche de Lassana Diarra. De quoi fortement contraster avec les maladresses répétées de Benzema, qui a raté au bas mot trois buts tous faits.
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